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Au jardin des pensées et philosophies / Philosophies / Jiddu Krishnamurti
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le: 08 Septembre 2007 à 19:40:56
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Jiddu Krishnamurti naquit le 11 mai 1895 à Madanapalle en Inde , et fut pris en charge à l'âge de treize ans par la Société théosophique, qui voyait en lui l'« Instructeur du monde » dont elle avait proclamé la venue.
Très vite Krishnamurti apparut comme un penseur de grande envergure, intransigeant et inclassable, dont les causeries et les écrits ne relevaient d'aucune religion spécifique, n'appartenaient ni à l'Orient ni à l'Occident, mais s'adressaient au monde entier. Répudiant avec fermeté cette image messianique, il prononça dans la stupeur générale en 1929 la dissolution de la vaste organisation richement dotée qui s'était constituée autour de sa personne. Il déclara alors que la vérité était « un pays sans chemin », dont l'accès ne passait par aucune religion, aucune philosophie ni aucune secte établies.
Tout le reste de sa vie, Krishnamurti rejeta obstinément le statut de gourou que certains voulaient lui faire endosser. Il ne cessa d'attirer un large public dans le monde entier, mais sans revendiquer la moindre autorité ni accepter aucun disciple, s'adressant toujours à ses auditeurs de personne à personne. À la base de son enseignement était la conviction que les mutations fondamentales de la société ne peuvent aboutir qu'au prix d'une transformation de la conscience individuelle. L'accent était mis sans relâche sur la nécessité de la connaissance de soi, et sur la compréhension des influences limitatives et séparatrices du conditionnement religieux et nationaliste. Krishnamurti insista toujours sur l'impérative nécessité de cette ouverture, de ce « vaste espace dans le cerveau où est une énergie inimaginable ». C'était là semble-t-il, la source de sa propre créativité, et aussi la clé de son impact charismatique sur un public des plus variés.
Krishnamurti poursuivit ses causeries dans le monde entier jusqu'à sa mort d'un cancer, en 1986 à Ojai en Californie, à l'âge de quatre-vingt-dix ans. Ses entretiens et dialogues, son journal et ses lettres ont été rassemblés dans un corpus de plus de soixante volumes. Premier entretien de Jiddu Krishnamurti et André Voisin enregistré pour ORTF 1ière chaîne 1972 :Se libérer du conditionnement
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Au jardin d'images / Films de musiques et chansons / Re : Chansons françaises : classiques
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le: 08 Septembre 2007 à 18:16:45
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Serge Gainsbourg -L'anamour- Aucun Boeing sur mon transit Aucun bateau sur mon transat Je cherche en vain la porte exacte Je cherche en vain le mot exit Je chante pour les transistors Ce récit de l'étrange histoire De tes anamours transitoires De Belle au Bois Dormant qui dort Je t'aime et je crains De m'égarer Et je sème des grains De pavot sur les pavés De l'anamour Tu sais ces photos de l'Asie Que j'ai prises à deux cents Asa Maintenant que tu n'es pas là Leurs couleurs vives ont pâli J'ai cru entendre les hélices D'un quadrimoteur mais hélas C'est un ventilateur qui passe Au ciel du poste de police Je t'aime et je crains De m'égarer Et je sème des grains De pavot sur les pavés De l'anamour Je t'aime et je crains De m'égarer Et je sème des grains De pavot sur les pavés De l'anamour
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Au jardin d'images / Films de musiques et chansons / Re : Chansons françaises : classiques
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le: 08 Septembre 2007 à 18:09:07
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Francoise Hardy - Message Personnel - Au bout du téléphone, il y a votre voix Et il y a des mots que je ne dirai pas Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres Je voudrais vous les dire Et je voudrais les vivre Je ne le ferai pas, Je veux, je ne peux pas Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien Je voudrais arriver, je reste, je me déteste Je n'arriverai pas, Je veux, je ne peux pas Je devrais vous parler, Je devrais arriver Ou je devrais dormir J'ai peur que tu sois sourd J'ai peur que tu sois lâche J'ai peur d'être indiscrète Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes Ne crois pas que tes souvenirs me gênent Et cours, cours jusqu'à perdre haleine Viens me retrouver Si tu crois un jour que tu m'aimes Et si ce jour-là tu as de la peine A trouver où tous ces chemins te mènent Viens me retrouver Si le dégoût de la vie vient en toi Si la paresse de la vie S'installe en toi Pense à moi Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes Ne le considère pas comme un problème Et cours et cours jusqu'à perdre haleine Viens me retrouver Si tu crois un jour que tu m'aimes N'attends pas un jour, pas une semaine Car tu ne sais pas où la vie t'emmène Viens me retrouver Si le dégoût de la vie vient en toi Si la paresse de la vie S'installe en toi Pense à moi Pense à moi
Mais si tu...
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Au jardin d'images / Films de musiques et chansons / Re : Chansons françaises : classiques
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le: 04 Septembre 2007 à 09:10:58
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Charles Aznavour -Emmenez-moi- Vers les docks où le poids et l'ennui Me courbent le dos Ils arrivent le ventre alourdi De fruits les bateaux
Ils viennent du bout du monde Apportant avec eux Des idées vagabondes Aux reflets de ciels bleus De mirages
Traînant un parfum poivré De pays inconnus Et d'éternels étés Où l'on vit presque nus Sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie Que le ciel du nord J'aimerais débarbouiller ce gris En virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour Avec les marins Quand on parle de filles et d'amour Un verre à la main
Je perds la notion des choses Et soudain ma pensée M'enlève et me dépose Un merveilleux été Sur la grève
Où je vois tendant les bras L'amour qui comme un fou Court au devant de moi Et je me pends au cou De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins Rejoignent leur bord Moi je rêve encore jusqu'au matin Debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant De la coque au pont Pour partir je travaillerais dans La soute à charbon
Prenant la route qui mène A mes rêves d'enfant Sur des îles lointaines Où rien n'est important Que de vivre
Où les filles alanguies Vous ravissent le cœur En tressant m'a t'on dit De ces colliers de fleurs Qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé Sans aucun remords Sans bagage et le cœur libéré En chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil...
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Au jardin d'images / Films de musiques et chansons / Re : Chansons françaises : classiques
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le: 04 Août 2007 à 22:15:16
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Claude Nougaro - Toulouse - Qu'il est loin mon pays,qu'il est loin Parfois au fond de moi se ranime L'eau verte du Canal du Midi Et la brique rouge des Minimes
Ô mon "pays", Ô Toulouse, Ô Toulouse
Je reprends l'avenue vers l'école Mon cartable est bourré de coups de poing Ici, si tu cognes tu gagnes Ici, même les mémés aiment la castagne
Ô mon "pays", Ô Toulouse
Un torrent de cailloux roule dans ton accent Ta violence bouillonne jusque dans tes violettes On se traite de cons à peine qu'on se traite Il y a de l'orage dans l'air, et pourtant...
L'Eglise St Sernin illumine le soir D'une fleur de corail que le soleil arrose C'est peut-être pour ça, malgré ton rouge et noir, C'est peut-être pour ça qu'on te dit "Ville Rose"
Je revois ton pavé, ô ma cité gasconne Ton trottoir éventré sur les tuyaux du gaz Est-ce l'Espagne en toi qui pousse un peu sa corne? Ou serait-ce dans tes tripes une bulle de jazz?
Voici le Capitole, j'y arrête mes pas Les ténors enrhumés tremblaient sous leurs ventouses J'entends encore l'écho de la voix de Papa C'était en ce temps là mon seul chanteur de blues
Aujourd'hui tes buildings grimpent haut, ôô A Blagnac tes avions sont plus beaux Si l'un, te ramène sur cette ville, Pourrais-je encore y revoir ma pincée de tuiles?
Ô mon pays, Ô Toulouse, ÔÔÔ TOULOUSE Doux et chaleureux été à tous :-)
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Au jardin des échanges / Aux nouvelles, actualité, découvertes / Re : La Terre serait-elle en expansion ?
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le: 03 Août 2007 à 09:57:52
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Bonjour à tous
Merci pour votre participation au sujet Caoch et Sirius :-)
Oui ,comme tu l'explique Sirius, je vois mal comment une expension constante, meme très moindre, ne pourrais pas engendrer des cataclismes énormes à l'échelle d'une planète
Autre sujet les neutrinos et la matière sombre depuis que j'en ai entendu parler vaguement me fascine assez, si quelqu'un aurai envie de partager sur le sujet ou à propos du fonctionnement de l'espace en général ...
....Je suis toute ouie
Belle journée à tous
Izazen
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Au jardin d'images / Films de musiques et chansons / Re : Emotions, failures d'âme, amour (2)
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le: 29 Juillet 2007 à 12:04:17
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Lara Fabian& Maurane -Tu es mon autre- Ame ou sœur Jumeau ou frère De rien mais qui es-tu Tu es mon plus grand mystère Mon seul lien contigu Tu m'enrubannes et m'embryonnes Et tu me gardes à vue Tu es le seul animal de mon arche perdue
Tu ne parles qu'une langue aucun mot déçu Celle qui fait de toi mon autre L'être reconnu Il n'y a rien à comprendre Et que passe l'intrus Qui n'en pourra rien attendre Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble
Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini
Et si l'un de nous deux tombe L'arbre de nos vies Nous gardera loin de l'ombre Entre ciel et fruit Mais jamais trop loin de l'autre Nous serions maudits Tu seras ma dernière seconde Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble
Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini
Et si l'un de nous deux tombe...
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Au jardin des échanges / Aux nouvelles, actualité, découvertes / La Terre serait-elle en expansion ?
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le: 23 Juillet 2007 à 10:58:04
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Un documentaire d'Arte exposant la Théorie de l'expension du globe terrestre L'expansion terrestre est une théorie essayant d'expliquer la position et le mouvement des continents à la surface de la Terre, affirmant que celle-ci grossit depuis sa formation, de l'ordre de quelques millimètres à 10 cm par an.
Constance gravitationnelle [modifier] L'idée d'une Terre en expansion est apparue dans la science vers 1938, quand le physicien Paul Dirac (1902–1984) suggéra que la constante gravitationnelle de la Terre avait diminué depuis ses milliards d'années d'existence. Cela a conduit le physicien allemand Pascual Jordan à une modification de la relativité générale pour proposer en 1964 que toutes les planètes grossissaient lentement. Jordan pensait que la Terre aurait pu avoir doublé de rayon dans les dernières centaines de millions d'années.
Cela pourrait ainsi expliquer la taille massive des dinosaures, qui auraient bénéficié d'une pesanteur moindre.
L'impact des neutrinos Konstantin Meyl a présenté en 2004 un lien entre l'expansion et l'absorption des neutrinos de la Terre.
Source et pour plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Expansion_terrestre
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Au jardin des pensées et philosophies / Textes à méditer / Bouddha
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le: 23 Juillet 2007 à 10:12:55
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« Les hommes perdent la santé pour gagner de l'argent et, après, dépensent cet argent pour récupérer la santé. A penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent, à tel point qu'ils finissent par ne vivre ni au présent ni au futur. Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. »
Bouddha
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Au jardin des pensées et philosophies / Philosophies / Re : Bouddhisme
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le: 23 Juillet 2007 à 10:02:12
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Les 7 piliers de la sagesse Bouddhiste 1 Respect de son corps
Maltraiter son corps, c'est saboter le récepteur de nos sensations. Etre encombré par lui, c'est se rendre indisponible pour des communions essentielles : avec la nature, avec les autres. Même si l'on n'a pas envie d'aller jusqu'à l'ascèse, un entretien minimum de notre enveloppe charnelle, et le refus de tout ce qui l'abîme prématurément, constituent le premier pas indispensable vers un mieux-vivre.
2 Intériorité
Pour retrouver une disponibilité à soi-même, et aux autres, il faut pouvoir se protéger contre les dispersions bruyantes du monde contemporain. Savoir fermer les yeux pour regarder à l'intérieur de soi est l'étape concrète vers une nouvelle prise de conscience de notre vécu. Ce n'est pas un hasard si toutes les sagesses proposent des exercices (dont les plus connus sont le qi gong, la méditation et le yoga) destinés à nous remettre à l'écoute de nous-mêmes.
3 Disponibilité au réel
L'ennemi intime du sage, c'est l'illusion. Et même, selon certains, l'espoir. Car les deux nous font décoller du réel. Or, le réel, c'est le tout de ce que nous offre l'existence. Savoir l'admettre, le reconnaître tel qu'il est, quelle que soit notre envie de l'embellir, voire de le nier, est un précepte quasi sacré des sagesses. Ce qui implique de cultiver sa disponibilité à tous les messages du réel, pour éviter que nos blocages psychologiques fassent écran entre nous et cette perception essentielle. On pourrait dire qu'il suffit de se rendre vulnérable à l'évidence.
4 Distanciation/détachement
Le monde (le réel) est trop puissant, trop multiple, trop complexe pour nos faibles capacités à l'appréhender, à le traiter. Si l'on se laisse emporter, il peut nous engloutir, ou nous laminer. Un pas de côté, salvateur, la distanciation, doit devenir un réflexe à cultiver. Un moyen précieux, en particulier, pour ne pas être l'esclave de ce qui nous offre, à la fois, nos plaisirs et nos souffrances : nos émotions. Et il nous permet de moins dépendre des turbulences de notre ego. En complément, le détachement libère le sage des contingences, en particulier matérielles, qui aliènent la plupart de ses contemporains.
5 Ni préjugés ni jugements
C'est dans nos rapports aux autres, dont nous ne pouvons voulons pas nous passer, que nos a priori sont les plus encombrants. I'éducation, quelle qu'elle soit, ne peut s'empêcher de nous barder de préjugés, d'idées préconçues, voire de sectarismes. S'en défaire pour accéder à nos semblables sans les juger implique un travail quasi permanent sur nous-mêmes. Notre réflexe instinctif est de nous faire instantanément une opinion sur ceux que nous croisons ou pratiquons. Au jugement, essayons de substituer l'effort de compréhension
6 Vivre au présent
Le respect du réel, le refus de l'illusion, portent naturellement à reconnaître que le passé n'est plus, et que le futur n'est pas encore. D'où l'ancrage, fondamental, dans le moment, l'ici et maintenant. Il ne s'agit ni de nier l'expérience ni de promouvoir l'insouciance, mais d'exercer notre conscience de l'instant dans le but de le vivre pleinement. Pour mieux vivre, il faut d'abord vivre, c'est-à-dire agir. Et l'action se passe toujours au présent.
7 Apprivoiser la mort
Le réel ultime, indépassable, c'est la mort, qui nous est commune. Vouloir l'oublier, en avoir peur, faussent tout notre équilibre existentiel. Il n'est pas besoin de croire à une vie ultérieure, ou éternelle, pour s'accommoder de notre mortalité. Il faut dialoguer avec elle jusqu'à ce que l'on se rende compte qu'elle seule peut donner ses vraies couleurs à la vie. C'est alors que le présent trouve sa dimension d'éternité.
Source : http://www.blogg.org/blog-33305-date-2006-06-04-billet-365002.html
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