Titre: Douceur d’un vent, souplesse par l’usage d’un chaudron. Posté par: Guy H le 15 Juin 2025 à 11:58:31 (http://gomot.free.fr/gif3/fleuretplantes/tree2.gif) (http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/cff86d8c.gif) 57, le vent, le doux, le pénétrant, modeler et 50, le chaudron et rituel. Le vent a la manière de se modeler en toute situation et en toutes contrées, ne dit-on pas : "la sérénité (du vent) conduit à tous les biens ". et parfois de surgir par un grand pouvoir, celui d’un chaudron. (https://i.servimg.com/u/f31/11/72/14/99/h5710.jpg) https://astropalais.forumactif.com/t1384-57-la-douceur 57, contrainte ou la soumission du guerrier, le vent, le doux, le pénétrant, adaptation sociale conforme, se modeler. Les mots : pénétration - approche en douceur - influence subtile mais profonde – modération – compréhension – non-violence. Mais aussi : XUN : soumis, docile, complaisant, humble. Céder, concéder. Autres symboles : Deux mains tendent un plateau sur lequel se trouvent placés des insignes honorifiques, des arcs, des sceptres – accepter les choses comme elles viennent et non pas comme on voudrait qu’elles soient – se soumettre car calculer ne change rien au sort. Le Ricci : douce pénétration, moment où l’on progresse insensiblement sans aucune violence, en paix. Le ciel antérieur du H57 est le H58 échanger, converser est-ce à dire que ce qui est en avant revient à l’arrière ? Une disposition légère à l’échange ouvre la porte à la bonne humeur pour rencontrer l’Être Grand, d’apporter une constance dans la réflexion. L’Être Grand et ses conseils d’être comme l’homme qui « tombe à pic » ou la brume qui apaise. De Carl Gustav Jung ; "Toutes les formes sont soumises à l’action du temps, elles vieillissent, soufrent, s’écroulent, à moins qu’elles ne se métamorphosent. " En une révélation. H57 : La CONTRAINTE (ou se modeler) est un mouvement impérieux qui oblige à fléchir, une force qui s’impose du dehors et amène à plier (se plier). Quand des pressions s’exercent de manière répétée, elles entraînent hésitation et incertitude : le plus souvent on souffre et peine à accepter l’épreuve d’une contrainte. " Cependant, ce trouble participe aussi d’un processus de régulation que rend bien le terme anglais to comply, qui signifie se conformer, s’adapter aux circonstances, à une règle, à une nécessité. Si la contrainte impose le changement en effet, elle apprend aussi à l’imposer : à modifier les contours d’une situation, à remodeler le passé en un sens nouveau, à actualiser la forme de son être-au-monde. " En le " JUGEMENT " du livre, sont écrites quatre phrases principales : SE MODELER Petit favorisant Profitable d'avoir où aller Profitable d'aller voir quelqu'un d’envergure. Lorsqu’il s’agit de modeler, a fortiori de SE MODELER, une intervention de type Yang, vive et rapide, est moins appropriée qu’une attitude Yin de consentement et de disponibilité. La phrase « rien qui ne soit profitable » au 5èm trait implique de ne pas considérer le « pourquoi » mais le « comment » ! Comment accéder à profiter d’être en harmonie avec soi-même, avec autrui, l’univers. Les différents sens de la CONTRAINTE peuvent nous apporter un éclairage : - L’allégeance, l’acceptation, le consentement, l’adaptabilité, le moment où l'on se plie à une règle, obéit à une loi, se conforme à une obligation, consent à des conditions. - Une pression répétée, une force qui s’impose de manière continue et insistante. - Un rapport de force, où l’on cherche à se faire obéir, à faire plier. - Le pouvoir : celui que l’on subit, celui que l’on exerce. - Les efforts à déployer pour changer profondément la forme d’un dispositif. - Le virage à imposer à l réalité dont j’ai hérité. - L’intelligence, la capacité de comprendre une situation, la force de pénétration dans ce qui est caché. :-X Ce n’est pas par la fermeté mais la souplesse et la répétition patiente qu’il est possible de se vaincre soi-même ou de convaincre autrui, puis de faire prendre à la situation une tournure nouvelle…… différente de celle que l’on avait imaginé au départ. Cela s’appelle métaboliser le passé pour construire le futur. :-X Hanna Moog et Karol Anthony de confirmer plusieurs idées sur ce Vent PÉNÉTRANT : " - La « pénétration » est le mode par lequel nos pensées parviennent jusqu’au Sage, à travers la lumière, lorsque nous demandons de l’aide. Mais c’est aussi le mode par lequel les pensées du Sage parviennent jusqu’à nous sous la forme de prises de conscience, d’intuitions, d’illuminations de l’esprit, et de réponses correctes aux situations urgentes." - C’est le mode par lequel nos pensées remontent jusqu’aux causes-racines des problèmes. :-X - C’est la manière dont nos pensées communiquent avec la vérité intérieure d’autrui. - C’est le mode par lequel les Oui et Non intérieurs accèdent à tous les endroits de notre psychisme et de notre corps. - C’est la manière dont le Oui intérieur ou le Non intérieur, lorsqu’ils sont dits aux autres, sont communiqués à leur vérité intérieure. - C’est la manière dont le Non intérieur corrige les projections, les sorts, les flèches empoisonnées et les pensées négatives dans le domaine de la conscience, ce qui amorce la transformation de la situation. - C’est le mode par lequel le chi est transmis de la source cosmique jusqu’à notre cœur, afin de renouveler notre force vitale. " Cela comporte un aspect contraignant qui peut décourager, voire provoquer des réactions d’incertitude et d’hésitation analogues à celles évoquées pour un voyageur choisissant un chemin plutôt qu’un autre et de faire naître, doute, peur ou culpabilité. De surprenantes qualités Yin de se mettre en action : souplesse, consentement et disponibilité. :-X En ce H57, il y a tout un programme parlant d'acceptation à être modelé ou contraint, cela est profitable. Redoublement du trigramme Vent. L’idée exprimée est d’entrer, de pénétrer. Le supérieur se conforme à sa voie en donnant des ordres, L’inférieur se conforme à la sienne avec le sourire. Entrer en soi évite les combats intérieurs destructeurs. Il y a avantage d’entrer en une gestation (avant toute révolution) et accéder au retrait par le Sud-Ouest. :-X Ce H57 incite à réfléchir et d'user de douceur. Nous pouvons dire qu’il agit avec un tact subtil et naturel tel un vent qui ne doit être ni sirocco ni cyclone. Seul dépend un but commun nécessitant de s’adapter parfaitement à l’environnement ambiant, à l’instant présent, à toutes les situations qui surgissent et même dans l’adversité, les difficultés, les problèmes créés par l’usure, le temps. L’image de l’idéogramme sont deux sceaux, deux mains, les sceaux prêts à être déposés sur une table puisqu'ils sont au-dessus des deux mains. Voilà de quoi est composée cette image qui indique des fonctionnaires investis d’un pouvoir (les sceaux) d'une autorité donnant des instructions. Claude Pipitone en son : " Yi King du thérapeute" donne un éclairage plus détaillé à cette image de deux mains qui déposent sur une table officielle, deux sceaux de bois ou de jade , il ajoute: " Dans l'antiquité, lors d'une cérémonie d'investiture, un sceau était remis au fonctionnaire et l'autre sceau (identique au premier) servait de preuve pour authentifier ledit fonctionnaire à une époque où les télécommunications n'existaient pas. Le pictogramme présente ici cette idée de vérité autant que d'harmonie, de paix, de partage. Il devient important de trouver la personne qui possède un sceau identique, celle qui me ressemble. Le besoin de faire les choses à deux se fait sentir. On trouve sa propre valeur à travers la relation à deux." :-X Ce vent répété est aussi l’image de ces rites qui s’insinuent dans la population. On retrouve aussi le rite d’alliance entre humain et le divin dans la consécration du vin par le rite de la messe. Il y a un respect des usages, des lois ! Parfois un vent violent vient emporter les évidences et balaie les modèles. Moment critique où les règles sont caduques, où les barrières s’estompent. Il y a aussi le symbole du bois, qui pénètre avec lenteur à la fois en la terre et en le ciel. Il s’adapte au vent. Le redoublement du vent en cet hexagramme permet d'être ni violent ni trop doux et de "coller " à la nature de ce vent transporter, modeler. Dans la mesure où nous sommes attachés au vent et sa douceur, nous contribuons au mouvement qui soulève l’humain tout entier pour le porter vers un avenir lumineux. D’où si nous devons nous impliquer dans un vaste projet autant y apporter de la douceur. De Jacques.E.Deschamps petite poésie dans " 64 réponses pour ouvrir sur soi et la vie les portes de la sagesse. " Extrait de la " Douceur". "…/…Grand vent brise le chêne et détruit les moissons, vent léger sent les fleurs et caresse la peau. C’est la douceur du vent qui porte sur la terre le pollen de la fleur et son parfum subtil. Là où l’épée se rompt sur le roc des falaises, l’eau creuse son chemin sans violence et sans bruit. C’est la douceur de l’eau qui façonne les berges et le cours sinueux des rivières paisibles. La force du bélier court souvent à l’échec, la douceur de l’amour ouvre toutes les portes. La rose ne peut pas abattre les murailles mais son parfum s’envole et ignore les murs. La douceur d’une main efface la raideur, la douceur d’un regard efface le chagrin et la douceur d’un mot ouvre le cœur fermé, tout cela est aussi simple que RESPIRER. " Ce H57, demande à se modeler, c’est aussi l’action de se plier ou faire un salut, une révérence (comme à tout souverain en Chine antique), se prosterner. Ce mouvement de contrainte certes sans se rebeller, sans rechigner mais sans perdre de vue l'objectif que l’on se donne et sans se décourager pour l'atteindre. Après s'être plié, on se relève ! Le Vent dans la nature est ce qui courbe les êtres et pénètre l’intérieur des situations cachées pour en remettre la forme à jour et le retour à l'ordre de s'établir. Comment une telle aptitude à égaler l’action du vent, peut-elle être guidée ? En venir à harmoniser la vie c’est utiliser les qualités yin pour ensuite agir avec mission, la pérennisation de la vie. Dans le ciel, observons le vent. Comment agit-il ? Dans l'invisible pour être à la fois si imperceptible mais harmonieux ! Et en chaque jour l'harmonie se développe partout. C’est en cela que le guide préconise l’usage d’un chaudron par un rituel obligatoire. H50. (https://i.servimg.com/u/f31/11/72/14/99/h5010.jpg) https://astropalais.forumactif.com/t1377-50-le-chaudron (https://www.gif-maniac.com/gifs/54/53926.gif) En cette association d’un travail du VENT comme du Bois, il se conjugue avec le chaudron par une progression rapide ou lente qui se doit d’être maîtrisée par cet " Athanor. " Malgré les secousses possibles par son usage.Lampe d'Aladin, baguette magique ou chaudron ? Le trigramme Bois est sous le trigramme Feu. Sous la flamme le bois se transforme lentement en braises puis en cendres. L’effet utile du feu est de cuire, brûler et réchauffer en symbolisme, il s’attache. Ce H50 est l’idée symbolique de la cuisson qui est la transformation par excellence. Véritable lampe d’Aladin prête à l’emploi. Les mots : alchimie intérieure – maîtrise – renouveau spirituel – réceptacle – rajeunissement – sagesse discriminante – Mais aussi: Vase tripode qui servait pour les offrandes et les sacrifices. Vase rond ou rectangulaire à trois ou quatre pieds pour la cuisson des aliments ou offrandes rituelles, marmite, chaudron. Autres symboles : Chaudron – marmite – outil de communication entre les dimensions et les générations – lieu d’échange entre les morts et les vivants – une grosse casserole sur le feu – appeler le nouveau. Le Ricci : le chaudron dans lequel les aliments se laissent se transformer pour s’élever en offrande vers le Ciel et devenir la nourriture du sage ; moment où le faible s’élève vers le fort en s’y conformant, assurant la marche vers le succès. Le ciel antérieur du H50 est le H10. LA MARCHE celle d’une cuisson qui peut être à haut risque, elle se doit d’être respectée, veillée. Toutefois une recette peut être « ratée », de convenir à ne plus reproduire d’erreur de cuisson. Ce H50 exprime la nature de cuire à l’aide d’un chaudron et de transformer, à l’extérieur immobile et solide, à l’intérieur dépouillée et vide. Utiliser son "chaudron" c’est : avancer d’un pas assuré, demeurer sans inquiétude mais en n'en restant pas moins vigilant à la recette qui se transforme. Un chaman averti conseille un bon usage du Ting. Cette association recommande (comme ayant plusieurs cordes à son arc) de se maîtriser par son " Athanor " ou de plusieurs. Le chaudron trouve idéalement sa place par son principe éternel : il est dit que ce qui pénètre dans un chaudron en ressortira transformé, mais ne pourra plus revenir à son état antérieur. Ce qui signifie que les éléments de la situation (les échanges) subissent une transformation définitive, mais bénéfique, puisque l’objectif est d’alimenter la situation pour faire croître une patiente discipline. Le regard de se transformer de même lorsque nous faisons une recette (culinaire par ex) dans la marmite nous y mettons les ingrédients, il y a un temps de cuisson, la surveiller et la stopper au bon moment, ensuite de procéder au partage de la recette réalisée. On procède à des échanges harmonieux, on exhale une joie, des moments agréables. Apporter le nécessaire simplement pour changer un regard, une observation, un point de vue (pas abstrait) et de participer efficacement à l’alimentation d'une armée. Beaucoup de stratèges accordaient une importance à l'intendance. " …/…La parole devient nourriture, forte idée, la nourriture est souffle, inspiration vitale, c’est pourquoi il convient de veiller à les mesurer, pour qu’elles soient justes, équitables et substantielles. Le sage ou la sage veille à ce qui entre et sort de sa bouche, il, elle pèse ses mots, et mesure ses aliments. Modération, respectueuse de soi et des autres, des ressources et des recettes, simples principes, en principe évidents…/…" De Paco Alpi et Alain Constantin : « le Mémoire de la Mue ». Qu’est-il nécessaire au chaudron afin de pouvoir expulser les fumées et les vapeurs symboliques qui sont dues aux transformations (qui se produisent à l’intérieur)… de la " percée " ou résolution, faut-il être résolu pour expulser tout ce qui pourrait porter préjudice à la finalité de la recette ? Ou la finalité d’une joie. Cet outil que chacun possède et qu’il développe plus ou moins en son quotidien a été imagé dans l’ancienne Chine comme un trépied ou vase sacrificiel avec des "oreilles " pour le porter, ce chaudron a toujours été le symbole d’un événement heureux. D’ailleurs les premiers chaudrons comportaient en leur intérieur des idéogrammes symboliques d’une haute teneur et non visibles par les personnes extérieures à la préparation. On en cachait déjà au profane une ou plusieurs " recettes " comme inscrites et visibles par celui qui aura le privilège de procéder au prochain nettoyage du chaudron. C’est préciser la part de l’usage du chaudron qui ne doit pas devenir quotidien et d’être utilisé qu’en de grandes occasions. Il en est de même lors d'un calcul d'hexagrammes avec les baguettes ou pièces de monnaie, ce moment doit être choisi, et d’en sortir une ou plusieurs transformations. En cette association cela permet d’occuper le mental, de laisser de côté ce qui oppresse, perturbe, isole, en résumé : accable (aller à la guerre). Et ce nouveau regard tant espéré d’advenir, de paraître, on en accepte une discipline alors ! Une citation de François Cheng d’éclore : " Le vrai futur est la métamorphose de tout le passé vécu. " Ce chaudron représente une mise au monde , une expression d’une vision personnelle et de créativité qui s’élève du plus profond de son être. C’est être prêt à donner naissance à un rêve qui a pris forme en soi, il y a un certain moment et de s'inscrire en une discipline quotidienne. Ô combien il est plus simple d’enfouir le réel que de se défaire du rêve ! Voir Matrix "résurrection." Et pour conclure, une belle sentence : le chaudron est le symbole d’une transmutation, d’un passage à un niveau supérieur où un signe d’une progression régulière de l’harmonie qui se propage, prospère par l'usage répété de ce chaudron. Il est question dans l’usage d’un chaudron, de pratiquer naturellement le " bon moment par excellence " et la pratique quotidienne venant… le bon moment arrive immanquablement. Toutefois l’exploit est possible en réunion à plusieurs animés d’une même intention, d’une même confiance, autrement résumé par une harmonie commune à la multitude ! De biens beaux hexas ce jour à l'aide de son "chaudron" la réussite est à ceux qui transforment leur regard intérieur (entre autre par une discipline maîtrisée) et d'agir pour la multitude. Entendre par ceux qui se ressemblent, en qui résonne le même son du cœur. Développer, faire croître " son chaudron " c’est se mettre à parler avec son cœur pour le plus grand bien des situations du moment. A chacun de découvrir ce bel "Athanor", ce chaudron céleste dans lequel se mesure l’évolution spirituelle ainsi que les choix de la vie à partager à plusieurs. Le chaudron devient une boîte crânienne et c’est dans la tête que la marmite bouillonne. D’autres de parler du Yin d'élévation du regard ! " Celui qui se maîtrise lui-même détient la vraie puissance de son chaudron. " Que dire de ces H57 et H50 et le symbolisme ? H57 : le trigramme Vent (ou bois) est en bas comme en haut. H50 : le trigramme Vent (ou bois) en bas est surmonté du trigramme Feu. Le vent de se diffuser aux alentours parfois à de grandes distances parfois langoureusement. Nathalie Chassériau donne une belle image du H57 : " Le vent est un transporteur et il modèle, en courbant les herbes, il peut être très doux comme apportant aussi la tempête. Invisible il est et ses effets se perçoivent très nettement. Comme l’eau, il épouse les contours de ce qu’il rencontre et peut s’infiltrer dans les moindres interstices. Sans forme ni couleur, il agit sur tout ce qu’il touche, y compris sur l’humeur des êtres vivants, qu’il influence selon la façon dont il décide de se manifester : le sirocco énerve, le mistral tonifie, la brise du soir détend et rafraîchit. Mais le vent a un pouvoir fécondant, bien connu de ceux qui vivent à la campagne ; inlassablement, il transporte les graines des herbes, le pollen des fleurs , des arbres, les semant quand bon lui semble, et où bon lui semble… transportant même un sable du désert et de le déposer après avoir traversé la mer. H57 : Le vent a besoin de la terre, des montagnes qu'il contourne et des fleuves pour devenir couloir du vent. Il a besoin de yin où tout tout devient agréable à transporter. Il lui est nécessaire d’avoir une qualité yin qui lui apporte ce don de modeler, courber, plier. Sur terre le vent prodigue la continuité du yin allègrement. Douceur et force vont très bien ensemble. A son heure tel un vent qui se lève, l'harmonie est enclenchée, ceci n’est possible que dans une attitude réceptive bien entendu car si fermé soit-on intérieurement comment pourrions-nous alors entendre le conseil de se fondre en un souffle protecteur, salvateur ? H50 : Bois et feu de s’entendre Discipline-t-il le feu ? C’est le vent qui s’en charge. L’arbre est un guide souterrain. La terre est le centre, le cœur, le vide, où la naissance s’ébauche. Le bois est l’image de l’effort patient par lequel ce qui veut apparaître finit par prendre forme. L’arbre aussi fini par le feu. Bois sous le feu des forces se concentrent à l’intérieur, forgeant dans les profondeurs la puissance tenace qui pousse à grandir, à éclore au moment précieux. Et pour conclure une belle sentence le chaudron est le symbole d’une transmutation, d’un passage à un niveau supérieur qui s’opère en fondant du nouveau à partir de l’ancien. Le chaudron est un instrument de communication entre la terre et le ciel. De biens beaux hexas ce jour à l'aide du "chaudron" il en ressort ......un bouillonnement… pour propager l’harmonie. ... /... ce bouillonnement manifeste au cœur de soi apporte à celui qui chaudronne des capacités nouvelles incroyablement efficaces. En cette étude un conseil transpire : Lorsque nous voulons modeler quelque chose, ou quelqu’un, commençons par adopter en soi une extrême souplesse, puis trouvant un " outil " adéquat on accepte que toute situation prenne une forme différente que celle que l’on imaginait. Et n’étant plus étonné on réutilise le chaudron sans modération. Comme ordre et équilibre sont présents, c'est le moment idéal d'aller et de s’identifier à un arbre qui persévère avec une extrême confiance toute naturelle. La sève de le porter par tout temps. :-X Échanger, se modeler ne doit pas devenir une source d’inquiétude, l’action est à la parole, à l’échange de paroles avec un fil conducteur….. en faire, en dire, en partager autant que possible avec l'aide d'un chaudron, de SON chaudron et l’harmonie d’y prendre une part stimulante. (http://boitagifs.free.fr/images/personnages/elf.gif) Guy H [Aparté : A signaler qu'il n'y a aucun rapprochement à des événements actuel. Si cela était, complètement fortuit cela serait car les baguettes utilisées apportent chaque jour des hexagrammes de manière aléatoire pour cette étude.] |