

De C.J.-D..Javary :
Le Yi Jing n’est pas un livre de sorts, il ne prédit pas l’avenir.
Il analyse l’organisation du moment présent de manière à nous aider
à y insérer au mieux notre action.
C’est fondamentalement un guide de stratégie de la vie quotidienne,
un manuel d’aide à la prise de décision et c’est en cela qu’il est en plein accord
avec la tradition confucéenne.
(p162 : Grandir avec Confucius.)
Le Yi Jing n’est pas un livre de sorts, il ne prédit pas l’avenir.
Il analyse l’organisation du moment présent de manière à nous aider
à y insérer au mieux notre action.
C’est fondamentalement un guide de stratégie de la vie quotidienne,
un manuel d’aide à la prise de décision et c’est en cela qu’il est en plein accord
avec la tradition confucéenne.
(p162 : Grandir avec Confucius.)
61, la vérité intérieure, totale synchronicité
ou juste confiance et
27, les lèvres, se nourrir avec mesure ou administration de la nourriture.
La Voie (ou Dao) de s’ouvrir, une confiance s’installe,
vivre l’instant présent comme il vient.
Le « ici et maintenant » de nous nimber d’une suave confiance.
Dès lors on agit avec une assurance pour nourrir.

https://astropalais.forumactif.com/t1100-61-la-verite-interieur*
61. ZHONG FU.
Une juste confiance au milieu juste.
Tout en ce H61pivote les mots tel que :
vérité intérieure, totale synchronicité ou juste confiance.
Avoir confiance c'est avoir confiance dans la vie.
Citation de Zhong Yong :
"Faire régner la centralité dans son for intérieur
et y développer le sens de la réciprocité. "
Le trigramme Brume est surmonté du trigramme Vent (ou bois).
Un marais est balayé par le vent, où l’action est ressentie profondément.
Nous obtenons l’image de la foi.
Foi et droiture sont l’essence de toute transformation.
Les deux traits yin au milieu de l’hexagramme serait-ce ce lieu de la foi ?
Un vide ?
Les mots : sagesse du cœur – vision – clarté – pureté – connaissance intuitive – conscience – reconnaissance de l’illusion.
Mais aussi :
ZHONG : Milieu. Central. Le Milieu Juste, la juste mesure, centre, droit, équilibré. Intermédiaire, médiateur, arbitre. L’intérieur.
Le cœur humain, la vie intérieure.
FU : Fidèle, sincère, digne de foi. Avoir foi. Avoir confiance.
Autres symboles :
La flèche se plante dans la cible en rythme avec le tambour – un enfant se laisse porter en toute confiance par les serres d’un aigle bienveillant – en toute confiance, au bon endroit, au bon moment.
Le Ricci : véracité interne, moment où le vide intérieur permet
aux êtres d’être fidèles à leur réalité propre et
leur assure la stabilité dans le développement.
Le ciel antérieur du H61 est le H47
l’ ACCABLEMENT.
Si l’Être de valeur, en faisant aboutir ses aspirations, accomplit son mandat,
ce n’est pas nécessairement un drame que d’être accablé,
juste un temps de désarroi paradoxalement permettant malgré tout d’installer
cette confiance qui peut en subjuguer plus d’un.
Comme ouverture à ce H61, Zhong Yong
de nous laisser cette merveilleuse citation :
" Faire régner la centralité dans son for intérieur
et y développer le sens de la réciprocité. "
Le jeune roi Salomon demandait à l’Éternel d’avoir un cœur qui écoute.
Cette attitude convient bien à l’homme qui part à la recherche
de son fond secret,
celui de son intériorité, celui-ci parle, il veut être découvert,
il se présente comme un amour attendant une réponse, la confiance
de lui venir en aide.
Les différents sens de la confiance :
- 1) La confiance en soi, le sentiment de certitude, d’être à la juste place.
- 2) Le mouvement qui pousse vers l’autre, le besoin d’échange et de partage.
- 3) Une recherche sincère de compréhension mutuelle, d’inclination commune.
- 4) Le tohu-bohu de la rencontre, le parcours permettant l’expérience de la confiance.
- 5) Les étapes de ce parcours : contact, émotion, fusion, tension, confiance, séparation.
- 6) La tentative maladroite de s’approprier l’autre ou de le dominer.
- 7) La recherche d’un consensus, la possibilité d’un espace commun.
- L’apprentissage de la juste distance.
A Zhong Fu, est associé xin ye, signes de l’homme et de la parole
désignant ainsi un être digne de foi, vrai, véridique,
quelqu’un à qui on peut se confier et en une confiance intime d’apporter l’équilibre.
Cette extrême confiance de la retrouver imagée en l’Évangile de Matthieu 8, 23-27
et de la retrouvée sous la forme de la FOI !
" Il se fit un grand calme":
En ce temps-là, comme Jésus montait dans la barque, ses disciples le suivirent.
Et voici que la mer devint tellement agitée que la barque était recouverte par les vagues.
Mais lui dormait.
Les disciples s’approchèrent et le réveillèrent en disant :
« Seigneur, sauve-nous ! Nous sommes perdus. »
Il leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs, hommes de peu de foi ? »
Alors, Jésus, debout, menaça les vents et la mer, et il se fit un grand calme.
Les gens furent saisis d’étonnement et disaient : « Quel est donc celui-ci, pour que même les vents et la mer lui obéissent ? »
Le sommeil du Christ est le signe d'un mystère celui de la foi !
Les occupants de la barque représentent les âmes qui traversent la vie de ce monde
sur le bois de la croix.
En outre, la barque est le symbole de l'Église. Oui, vraiment (…) le cœur de chaque fidèle est une barque naviguant sur la mer ; elle ne peut pas sombrer
si l'esprit entretient de bonnes pensées
comme suivre en soi une réelle confiance ou foi.
Et si la confiance en soi est acquise une Voie dans la prospérité
est toute tracée.
Anne Cheng propose de désigner « l’homme qui ne devient humain que dans sa relation à autrui », on peut voir l’homme qui ne devient véritablement humain que par la véracité de sa parole.
Des citations chinoises sont directes et Cyrille Javary et Pierre Faure de décortiquer les phrases séculaires du Livre, en la "brique rouge " !
JUSTE CONFIANCE
Porc et poissons
Ouverture
Profitable de passer le grand fleuve
Ténacité profitable.
Les deux animaux qui symbolisent la JUSTE CONFIANCE résument
à eux seuls toute la spiritualité chinoise.
Le poisson en Chine est symbole de vie et promesse de descendance,
il y a une même image en Occident écrira Jung :
"Dans les rêves, le poisson a le sens d’enfant à naître car, avant de naître,
il vit dans l’eau comme le poisson.
Le porc représente les ascendants car la demi-tête de cochon était l’offrande de base du culte ancestral chinois – à partir de là, il est l’image de tout ce qui a précédé.
Le poisson représente les descendants, car un repas de mariage n’est pas concevable sans que soit servi un plat de poisson – à partir de là ; il est l’image de tout ce qui suivra.
Du couplage de ces deux symboles découle toute une conception de la vie, qui se manifeste dans le sentiment d’être à sa place dans le présent, comme un maillon vide et nécessaire dans la chaîne vivante d’ancêtres défunts et d’enfants à venir.
Ouverture et profitable de passer le grand fleuve :
Plus généralement, cette sensation d’une position juste est à la base d’une profonde confiance en soi qui donne le cœur de réaliser ce qu’on croyait impossible et la force de passer le grand fleuve, c’est-à-dire d’aller sans crainte à la rencontre de l’autre.
Cependant, comme le suggère l’absence de la mention favorisant , l’accord n’est pas acquis d’emblée : l’échange est un parcours qui nécessite patience et ténacité.
S’appuyer sur ce qui a été fait pour faire advenir, c’est envisager le présent avec confiance.
Alors en lisant le texte sur la " juste confiance ",
voici la traduction résumée pour chaque trait par Nathalie Chassériau dans sa version du Yi Jing « Prendre les bonnes décisions avec le Yi King. »
- La confiance doit être ferme et éclairée. Traduis par : rester zen et tout ira bien.
- La confiance est la base de la concorde. Traduis par : manifestez-vous discrètement : on répondra à votre appel.
- Pas de confiance sans maîtrise de soi. Traduis par : une excessive dépendance peut- être déstabilisante.
- C’est par la confiance qu’on accède aux rangs élevés. Traduis par : gare aux rivalités : il faut garder l'esprit d'équipe.
- Qu’est la confiance sans fidélité ? Traduis par : vous êtes le maillon clé d'une chaîne indestructible.
- Confiance en soi et ambition sont des contraires. Traduis par : quand la confiance manque, le dialogue s’interrompt.
L’hexa 61 est composé de deux traits yang en bas, deux yin au milieu et deux yangs en haut. Les deux traits YIN du milieu sont les plus évocateurs, ils représentent
un Cœur vide de toute idée préconçue,
de toute appréhension, un cœur simple et sincère et donc ouvert à l’autre.
Tchouang tseu permet une approche à cet esprit libre, simple et sincère
avec cette belle réflexion :
"Tu sais qu’on peut voler avec des ailes,
mais peux-tu voler sans ailes ?
Tu connais le savoir qui sait,
mais peux-tu pratiquer
le savoir qui ne sait pas ?
Pense à une fenêtre :
ce n’est qu’un trou dans un mur
mais, grâce à elle,
toute la pièce s’emplit de lumière.
De même, lorsque l’esprit est ouvert
et libre de ses pensées,
la vie se déploie sans effort,
et le monde entier s’emplit de lumière.
" Avoir confiance, c’est avant tout croire en soi-même
et en ses capacités à tenir sa place dans n’importe quelle situation,
à régler instinctivement son attitude en fonction du moment présent.
Être au diapason de ce qui surgit.
C’est savoir que l’on possède force et sérénité nécessaires
pour toucher le cœur des autres et
pouvoir apaiser les querelles les plus virulentes comme
les individus les plus intraitables ."
Et comme le disent si bien les Upanishads :
" Celui qui habite la terre,
Pourtant si différent de la terre,
Que la terre ne connaît,
Dont le corps est terre,
Qui, intérieurement, dirige la terre,
CELUI-CI est ton MOI, ton guide intérieur,
Ton Moi IMMORTEL ! "
Et d’autres d’écrire que " …/… seul l’accès à la connaissance non duelle permet de renaître à la vie spirituelle. "
Dr Patrick Paul et Pierre Porte en leur ouvrage
"Tendre la main au vide ! "
Le H61 – un hexagramme des plus profonds du Yi Jing –
évoque une personnalité évoluée,
qui sait qu’elle trouvera toujours les mots justes et
l’attitude adaptée, même lors de circonstances plus délicates.
"Comprendre les autres permet d'agir sur eux.
Soyez droit et ferme. Sachez faire confiance et pardonner."
Il faut chercher la compagnie des individus sûr d’eux-mêmes
et de leur " vérité intérieure " ;
dépourvus de jalousie et d’instinct de compétition,
ils sont la plupart du temps d’un abord plaisant et
d’un commerce agréable.
Carol.K.Anthony et Hanna Moog en leur
« Yi King. L’Oracle de la Voie du Cosmos »
apportent un passage fort juste par le 5èm trait très laconique:
"Il possède la vérité, qui relie. Pas de blâme.
…/…ce trait nous permet de prendre conscience que la vérité intérieure
« relie » harmonieusement l’ensemble de notre constitution physique.
Comme mentionné dans le texte principal, la vérité intérieure est gravée dans les chromosomes de chaque cellule du corps. "
Pour faire "passer" ce H61 qui évoque l’action et la pensée,
quel guide de prolonger cette juste confiance ?
Le guide d’une vitalité surprenante phénoménale
celle de nourrir et le flux cosmique de poursuivre un éternel chemin
pour celui, celle qui imprime dans son quotidien une prospérité originelle.
Un guide inestimable, magique, magistral, se nourrir . H27.
H27 tout cela donne faim.
https://astropalais.forumactif.com/t1134-27-les-commissures-des-levres-nourritures
27, Les lèvres ou nourrir , administration de la nourriture.
Les mots : nutrition – santé – bien-être – apport aux autres – instauration de l’équilibre – sustentation du corps,
de l’esprit et de l’âme.
Mais aussi :
Bas du visage, menton, joues. Nourrir, entretenir.
Autres symboles : La bouche – les joues – la tête – nourrir et se nourrir de concepts, d’informations, tout autant que d’aliments – c’est là entretenir la rectitude.
Le Ricci : entretien de la vie, moment où la puissance atteint graduellement tous les êtres et les fait vivre (en paix).
Le ciel antérieur au H27 est le H55 : l’abondance, la profusion.
la profusion semble au prime abord être un plus. Quand il y a trop de choses pourtant, ( à manger) on est comme pris dans une végétation épaisse, on peine à s’y retrouver et la profusion devient vite confusion.
Et alors de devenir vigilant à toutes paroles qui sortent de la bouche.
Et alors d’être modéré dans la façon d’ingérer ce qui vient du dehors.
Ce guide est une image très belle.
Tonnerre en bas où un trait yang " pousse " deux traits Yin,
c’est comme un bol posé, ouverture vers le haut, la mobilité en action,
cette action est de mâcher mais également celle d’ouvrir une bouche
pour introduire et avaler.
Montagne en haut, autre bol renversé lui sur celui du bas, il y a stabilité.
Image de nos mâchoires,
l’une mobile l’inférieure, l’autre immobile attachée au crâne.
" Ainsi l’homme de bien est attentif dans ses paroles
et mesure dans ce qu’il mange et boit. "
Le tonnerre gronde au pied de la montagne.
Turbulence et roulements où s’entendent le désir et l’impatience.
L’égarement poussant à des paroles excessives,
engendrant des réactions brutales,
une nécessité toute naturelle, se nourrir alors par ce guide,
en toute humilité.
Ce H27 va tempérer la notion de faim.
S’il importe de calmer des ardeurs ou des émotions
c’est qu’aucune faim
– physique, affective, spirituelle, sexuelle ou autre –
ne se comble réellement dans la hâte.
Les nourritures premières sont : le soleil, l'air, la pluie
ensuite les relations humaines.
La terre de faire croître les végétaux indispensables à la vie
et faire croître les populations.
En Chine plus qu’ailleurs, le corps et l’esprit ne font qu’un.
Si la tempérance favorise un bon entretien du corps,
une nourriture correcte
n'influence-t-elle pas l’esprit en retour ?
L’harmonie de devenir un bien naturel.
Une saine régulation transparaît dans la manière de se comporter avec l’entourage,
et notamment dans les paroles qui sortent de la bouche.
Il est surtout question de pensées de paix qui devront mûrir
puis en chemin de pouvoir devenir paroles
et déboucher sur des actes concrets,
vivre en l’instant présent toute émotion.
Michel Foucault dans " Le souci de soi " nous éclaire de belle manière.
" Il ne s’agit pas d’instaurer une lutte de l’âme
contre le corps, ni même d’établir des moyens par lesquels elle pourrait se défendre en face de lui, il s’agit plutôt pour l’âme
de se corriger elle-même
pour pouvoir conduire le corps selon une loi qui est celle du corps lui-même. "
" En s’asseyant dans le silence, détendu et confortable,
observant simplement la respiration et les pensées,
on vide l’esprit et les tensions qui affectent le bien-être.
Quand une pensée qui captive, l’attention s’élève,
on respire alors calmement, cette tension se relâche et
l’on revient à la neutralité.(d’autres d’écrire la centralité)
C’est la forme de méditation la plus simple et elle fonctionne… "
Par le manger (mastication) on rumine
ainsi de n’être plus hypnotisé par les habitudes terrestres,
par une illusion sociétale, le mental devenant prison.
Le « non » est savamment réfléchi prononcé ou pas, il sera une dynamique s’exprimant (le tonnerre), même si le trigramme supérieur lui demande un arrêt ou plutôt de la retenue (la montagne stabilisante).
En ce H27 l’idée basée au niveau de la bouche
démontre que de grandes choses comme des petites sont contenues puis délivrées en paroles justes , appropriées à une situation de faire advenir.
Cela demande de demeurer dans la juste confiance en cette nourriture pour ramener de l’ordre et faire accepter le farouche.
Quoi de plus normal que de vivre le plus simplement en absorbant
chaque jour ces "petites choses" comme de plus "grandes".
Il y a matière à surveiller le comment nous mangeons,
comment nous absorbons tout ce qui va constituer
notre corps,
notre mental,
nos paroles ! Notre extérieur.
C'est la conscience de soi qui s'exprime.
Être attentif à tout ce qui décroît comme
à toutes forces montantes (Yin ou Yang) maîtrisées.
Et de ressentir les deux énergies imbriquées
contraires complémentaires qui
"s'expliquent" lors de la "digestion. "
Une maîtrise de notre alimentation prend corps,, de croître.
Sachant que tout évolue comme il se doit, de manière parfaite (et imparfaite),
ces forces font reprendre progressivement beaucoup
d’harmonie en soi.
Il y a alors une transformation symbolique
croissance et décroissance ne font plus qu’UN
et se vivent dans l’éclat en une saine lumière.
C’est la conscience du Soi qui s’exprime comme si l’homme
prenait conscience de sa Déité.
L'étude, tous les jours un peu plus le Tao, tous les jours un peu moins
de moins en moins jusqu'au non-agir comme alimentation.
De Pierre Faure en son récent ouvrage sur le Yi Jing :
" La NOURRITURE " est de tous les instants : le vivant en est tissé.
La nourriture peut concerner toutes sortes de besoins – alimentaire, matériel, physiologique, affectif, spirituel...- et de se traduire par des élans d’avidité, des écarts de conduite ou trouble divers, jusqu’à ce que soient entendus les conseils de modérations qui recommandent instamment de réguler ses désirs.
Les symboles sont le langage de l’esprit, aidant à prendre conscience
de pérenniser en soi l’harmonie. Et de ressentir le flux vital qui poursuit un éternel chemin…
celui de voir grand et de réaliser de manière universelle.
Ainsi l' Être de valeur
est attentif dans ses paroles
et MESURÉ dans le manger et le boire.
H61 : le trigramme Brume (du lac) en bas est surmonté du trigramme Vent (ou bois).
H27 : le trigramme Tonnerre en bas est surmonté du trigramme Montagne.
H61 : La brume a un rôle déterminant, découvrir des espaces nouveaux et
d’entreprendre la marche du " ciel "
promettant la découverte d’autres horizons, d'autres situations et
de pénétrer dans la mémoire. D’autres d’ajouter en plusieurs mémoires.
Poussée par le vent la brume de s’étendre allègrement.
jusqu’à être digne de foi trouvant quelqu'un à qui l’on peut se fier, se confier.
L’homme-la femme fidèle à sa parole, tient ses engagements
et son discours est sans aucune duplicité, voilà ce qui permet des relations de confiance.
Alors si ces relations sont mesurées entre les humains,
une fraternité de s’étendre jusqu’à toucher les éveillés.
La brume évoque la sérénité et le vent sa dispersion.
On trouve alors une compagnie de confiance nécessaire sur le chemin engagé,
au moment voulu et à l'endroit voulu…/…et pour certains (es) le mental d’en est affecté.
C’est surprenant qu’un élan de sincérité, une empathie, un altruisme bouscule,
parfois même d’ébranler des personnes indisposées à ces élans.
Inaccoutumées en fait.
H27 : Un fracas sort de terre, une dynamique yang qui s’échappe de terre et prend naissance,
se précipitant vers la Montagne qui freine l’emballement du Tonnerre.
Une " mastication " est nécessaire ensuite un fluide de s’installer en un cinabre.
Le chaudron en lequel toute nourriture se transforme.
En cette étude il y a une grande idée :
demeurer dans la juste confiance est une prodigieuse nourriture
pour ramener de l’ordre, de ce fait le farouche est accepté,
l'harmonie de se répandre.
Quoi de plus normal que de vivre le plus simplement en se nourrissant
chaque jour de cette juste confiance.

Guy H
ou juste confiance et
27, les lèvres, se nourrir avec mesure ou administration de la nourriture.
La Voie (ou Dao) de s’ouvrir, une confiance s’installe,
vivre l’instant présent comme il vient.
Le « ici et maintenant » de nous nimber d’une suave confiance.
Dès lors on agit avec une assurance pour nourrir.

https://astropalais.forumactif.com/t1100-61-la-verite-interieur*
61. ZHONG FU.
Une juste confiance au milieu juste.
Tout en ce H61pivote les mots tel que :
vérité intérieure, totale synchronicité ou juste confiance.
Avoir confiance c'est avoir confiance dans la vie.
Citation de Zhong Yong :
"Faire régner la centralité dans son for intérieur
et y développer le sens de la réciprocité. "
Le trigramme Brume est surmonté du trigramme Vent (ou bois).
Un marais est balayé par le vent, où l’action est ressentie profondément.
Nous obtenons l’image de la foi.
Foi et droiture sont l’essence de toute transformation.
Les deux traits yin au milieu de l’hexagramme serait-ce ce lieu de la foi ?
Un vide ?
Les mots : sagesse du cœur – vision – clarté – pureté – connaissance intuitive – conscience – reconnaissance de l’illusion.
Mais aussi :
ZHONG : Milieu. Central. Le Milieu Juste, la juste mesure, centre, droit, équilibré. Intermédiaire, médiateur, arbitre. L’intérieur.
Le cœur humain, la vie intérieure.
FU : Fidèle, sincère, digne de foi. Avoir foi. Avoir confiance.
Autres symboles :
La flèche se plante dans la cible en rythme avec le tambour – un enfant se laisse porter en toute confiance par les serres d’un aigle bienveillant – en toute confiance, au bon endroit, au bon moment.
Le Ricci : véracité interne, moment où le vide intérieur permet
aux êtres d’être fidèles à leur réalité propre et
leur assure la stabilité dans le développement.
Le ciel antérieur du H61 est le H47
l’ ACCABLEMENT.
Si l’Être de valeur, en faisant aboutir ses aspirations, accomplit son mandat,
ce n’est pas nécessairement un drame que d’être accablé,
juste un temps de désarroi paradoxalement permettant malgré tout d’installer
cette confiance qui peut en subjuguer plus d’un.
Comme ouverture à ce H61, Zhong Yong
de nous laisser cette merveilleuse citation :
" Faire régner la centralité dans son for intérieur
et y développer le sens de la réciprocité. "
Le jeune roi Salomon demandait à l’Éternel d’avoir un cœur qui écoute.
Cette attitude convient bien à l’homme qui part à la recherche
de son fond secret,
celui de son intériorité, celui-ci parle, il veut être découvert,
il se présente comme un amour attendant une réponse, la confiance
de lui venir en aide.
Les différents sens de la confiance :
- 1) La confiance en soi, le sentiment de certitude, d’être à la juste place.
- 2) Le mouvement qui pousse vers l’autre, le besoin d’échange et de partage.
- 3) Une recherche sincère de compréhension mutuelle, d’inclination commune.
- 4) Le tohu-bohu de la rencontre, le parcours permettant l’expérience de la confiance.
- 5) Les étapes de ce parcours : contact, émotion, fusion, tension, confiance, séparation.
- 6) La tentative maladroite de s’approprier l’autre ou de le dominer.
- 7) La recherche d’un consensus, la possibilité d’un espace commun.
- L’apprentissage de la juste distance.
A Zhong Fu, est associé xin ye, signes de l’homme et de la parole
désignant ainsi un être digne de foi, vrai, véridique,
quelqu’un à qui on peut se confier et en une confiance intime d’apporter l’équilibre.
Cette extrême confiance de la retrouver imagée en l’Évangile de Matthieu 8, 23-27
et de la retrouvée sous la forme de la FOI !
" Il se fit un grand calme":
En ce temps-là, comme Jésus montait dans la barque, ses disciples le suivirent.
Et voici que la mer devint tellement agitée que la barque était recouverte par les vagues.
Mais lui dormait.
Les disciples s’approchèrent et le réveillèrent en disant :
« Seigneur, sauve-nous ! Nous sommes perdus. »
Il leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs, hommes de peu de foi ? »
Alors, Jésus, debout, menaça les vents et la mer, et il se fit un grand calme.
Les gens furent saisis d’étonnement et disaient : « Quel est donc celui-ci, pour que même les vents et la mer lui obéissent ? »
Le sommeil du Christ est le signe d'un mystère celui de la foi !
Les occupants de la barque représentent les âmes qui traversent la vie de ce monde
sur le bois de la croix.
En outre, la barque est le symbole de l'Église. Oui, vraiment (…) le cœur de chaque fidèle est une barque naviguant sur la mer ; elle ne peut pas sombrer
si l'esprit entretient de bonnes pensées
comme suivre en soi une réelle confiance ou foi.
Et si la confiance en soi est acquise une Voie dans la prospérité
est toute tracée.
Anne Cheng propose de désigner « l’homme qui ne devient humain que dans sa relation à autrui », on peut voir l’homme qui ne devient véritablement humain que par la véracité de sa parole.
Des citations chinoises sont directes et Cyrille Javary et Pierre Faure de décortiquer les phrases séculaires du Livre, en la "brique rouge " !
JUSTE CONFIANCE
Porc et poissons
Ouverture
Profitable de passer le grand fleuve
Ténacité profitable.
Les deux animaux qui symbolisent la JUSTE CONFIANCE résument
à eux seuls toute la spiritualité chinoise.
Le poisson en Chine est symbole de vie et promesse de descendance,
il y a une même image en Occident écrira Jung :
"Dans les rêves, le poisson a le sens d’enfant à naître car, avant de naître,
il vit dans l’eau comme le poisson.
Le porc représente les ascendants car la demi-tête de cochon était l’offrande de base du culte ancestral chinois – à partir de là, il est l’image de tout ce qui a précédé.
Le poisson représente les descendants, car un repas de mariage n’est pas concevable sans que soit servi un plat de poisson – à partir de là ; il est l’image de tout ce qui suivra.
Du couplage de ces deux symboles découle toute une conception de la vie, qui se manifeste dans le sentiment d’être à sa place dans le présent, comme un maillon vide et nécessaire dans la chaîne vivante d’ancêtres défunts et d’enfants à venir.
Ouverture et profitable de passer le grand fleuve :
Plus généralement, cette sensation d’une position juste est à la base d’une profonde confiance en soi qui donne le cœur de réaliser ce qu’on croyait impossible et la force de passer le grand fleuve, c’est-à-dire d’aller sans crainte à la rencontre de l’autre.
Cependant, comme le suggère l’absence de la mention favorisant , l’accord n’est pas acquis d’emblée : l’échange est un parcours qui nécessite patience et ténacité.
S’appuyer sur ce qui a été fait pour faire advenir, c’est envisager le présent avec confiance.
Alors en lisant le texte sur la " juste confiance ",
voici la traduction résumée pour chaque trait par Nathalie Chassériau dans sa version du Yi Jing « Prendre les bonnes décisions avec le Yi King. »
- La confiance doit être ferme et éclairée. Traduis par : rester zen et tout ira bien.
- La confiance est la base de la concorde. Traduis par : manifestez-vous discrètement : on répondra à votre appel.
- Pas de confiance sans maîtrise de soi. Traduis par : une excessive dépendance peut- être déstabilisante.
- C’est par la confiance qu’on accède aux rangs élevés. Traduis par : gare aux rivalités : il faut garder l'esprit d'équipe.
- Qu’est la confiance sans fidélité ? Traduis par : vous êtes le maillon clé d'une chaîne indestructible.
- Confiance en soi et ambition sont des contraires. Traduis par : quand la confiance manque, le dialogue s’interrompt.
L’hexa 61 est composé de deux traits yang en bas, deux yin au milieu et deux yangs en haut. Les deux traits YIN du milieu sont les plus évocateurs, ils représentent
un Cœur vide de toute idée préconçue,
de toute appréhension, un cœur simple et sincère et donc ouvert à l’autre.
Tchouang tseu permet une approche à cet esprit libre, simple et sincère
avec cette belle réflexion :
"Tu sais qu’on peut voler avec des ailes,
mais peux-tu voler sans ailes ?
Tu connais le savoir qui sait,
mais peux-tu pratiquer
le savoir qui ne sait pas ?
Pense à une fenêtre :
ce n’est qu’un trou dans un mur
mais, grâce à elle,
toute la pièce s’emplit de lumière.
De même, lorsque l’esprit est ouvert
et libre de ses pensées,
la vie se déploie sans effort,
et le monde entier s’emplit de lumière.
" Avoir confiance, c’est avant tout croire en soi-même
et en ses capacités à tenir sa place dans n’importe quelle situation,
à régler instinctivement son attitude en fonction du moment présent.
Être au diapason de ce qui surgit.

C’est savoir que l’on possède force et sérénité nécessaires
pour toucher le cœur des autres et
pouvoir apaiser les querelles les plus virulentes comme
les individus les plus intraitables ."
Et comme le disent si bien les Upanishads :
" Celui qui habite la terre,
Pourtant si différent de la terre,
Que la terre ne connaît,
Dont le corps est terre,
Qui, intérieurement, dirige la terre,
CELUI-CI est ton MOI, ton guide intérieur,
Ton Moi IMMORTEL ! "
Et d’autres d’écrire que " …/… seul l’accès à la connaissance non duelle permet de renaître à la vie spirituelle. "
Dr Patrick Paul et Pierre Porte en leur ouvrage
"Tendre la main au vide ! "
Le H61 – un hexagramme des plus profonds du Yi Jing –
évoque une personnalité évoluée,
qui sait qu’elle trouvera toujours les mots justes et
l’attitude adaptée, même lors de circonstances plus délicates.
"Comprendre les autres permet d'agir sur eux.
Soyez droit et ferme. Sachez faire confiance et pardonner."
Il faut chercher la compagnie des individus sûr d’eux-mêmes
et de leur " vérité intérieure " ;
dépourvus de jalousie et d’instinct de compétition,
ils sont la plupart du temps d’un abord plaisant et
d’un commerce agréable.
Carol.K.Anthony et Hanna Moog en leur
« Yi King. L’Oracle de la Voie du Cosmos »
apportent un passage fort juste par le 5èm trait très laconique:
"Il possède la vérité, qui relie. Pas de blâme.
…/…ce trait nous permet de prendre conscience que la vérité intérieure
« relie » harmonieusement l’ensemble de notre constitution physique.
Comme mentionné dans le texte principal, la vérité intérieure est gravée dans les chromosomes de chaque cellule du corps. "
Pour faire "passer" ce H61 qui évoque l’action et la pensée,
quel guide de prolonger cette juste confiance ?
Le guide d’une vitalité surprenante phénoménale
celle de nourrir et le flux cosmique de poursuivre un éternel chemin
pour celui, celle qui imprime dans son quotidien une prospérité originelle.
Un guide inestimable, magique, magistral, se nourrir . H27.
H27 tout cela donne faim.


https://astropalais.forumactif.com/t1134-27-les-commissures-des-levres-nourritures
27, Les lèvres ou nourrir , administration de la nourriture.
Les mots : nutrition – santé – bien-être – apport aux autres – instauration de l’équilibre – sustentation du corps,
de l’esprit et de l’âme.
Mais aussi :
Bas du visage, menton, joues. Nourrir, entretenir.
Autres symboles : La bouche – les joues – la tête – nourrir et se nourrir de concepts, d’informations, tout autant que d’aliments – c’est là entretenir la rectitude.
Le Ricci : entretien de la vie, moment où la puissance atteint graduellement tous les êtres et les fait vivre (en paix).
Le ciel antérieur au H27 est le H55 : l’abondance, la profusion.
la profusion semble au prime abord être un plus. Quand il y a trop de choses pourtant, ( à manger) on est comme pris dans une végétation épaisse, on peine à s’y retrouver et la profusion devient vite confusion.
Et alors de devenir vigilant à toutes paroles qui sortent de la bouche.
Et alors d’être modéré dans la façon d’ingérer ce qui vient du dehors.
Ce guide est une image très belle.
Tonnerre en bas où un trait yang " pousse " deux traits Yin,
c’est comme un bol posé, ouverture vers le haut, la mobilité en action,
cette action est de mâcher mais également celle d’ouvrir une bouche
pour introduire et avaler.
Montagne en haut, autre bol renversé lui sur celui du bas, il y a stabilité.
Image de nos mâchoires,
l’une mobile l’inférieure, l’autre immobile attachée au crâne.
" Ainsi l’homme de bien est attentif dans ses paroles
et mesure dans ce qu’il mange et boit. "
Le tonnerre gronde au pied de la montagne.
Turbulence et roulements où s’entendent le désir et l’impatience.
L’égarement poussant à des paroles excessives,
engendrant des réactions brutales,
une nécessité toute naturelle, se nourrir alors par ce guide,
en toute humilité.
Ce H27 va tempérer la notion de faim.
S’il importe de calmer des ardeurs ou des émotions
c’est qu’aucune faim
– physique, affective, spirituelle, sexuelle ou autre –
ne se comble réellement dans la hâte.
Les nourritures premières sont : le soleil, l'air, la pluie
ensuite les relations humaines.
La terre de faire croître les végétaux indispensables à la vie
et faire croître les populations.
En Chine plus qu’ailleurs, le corps et l’esprit ne font qu’un.
Si la tempérance favorise un bon entretien du corps,
une nourriture correcte
n'influence-t-elle pas l’esprit en retour ?
L’harmonie de devenir un bien naturel.
Une saine régulation transparaît dans la manière de se comporter avec l’entourage,
et notamment dans les paroles qui sortent de la bouche.
Il est surtout question de pensées de paix qui devront mûrir
puis en chemin de pouvoir devenir paroles
et déboucher sur des actes concrets,
vivre en l’instant présent toute émotion.
Michel Foucault dans " Le souci de soi " nous éclaire de belle manière.
" Il ne s’agit pas d’instaurer une lutte de l’âme
contre le corps, ni même d’établir des moyens par lesquels elle pourrait se défendre en face de lui, il s’agit plutôt pour l’âme
de se corriger elle-même
pour pouvoir conduire le corps selon une loi qui est celle du corps lui-même. "
" En s’asseyant dans le silence, détendu et confortable,
observant simplement la respiration et les pensées,
on vide l’esprit et les tensions qui affectent le bien-être.
Quand une pensée qui captive, l’attention s’élève,
on respire alors calmement, cette tension se relâche et
l’on revient à la neutralité.(d’autres d’écrire la centralité)
C’est la forme de méditation la plus simple et elle fonctionne… "
Par le manger (mastication) on rumine
ainsi de n’être plus hypnotisé par les habitudes terrestres,
par une illusion sociétale, le mental devenant prison.
Le « non » est savamment réfléchi prononcé ou pas, il sera une dynamique s’exprimant (le tonnerre), même si le trigramme supérieur lui demande un arrêt ou plutôt de la retenue (la montagne stabilisante).
En ce H27 l’idée basée au niveau de la bouche
démontre que de grandes choses comme des petites sont contenues puis délivrées en paroles justes , appropriées à une situation de faire advenir.
Cela demande de demeurer dans la juste confiance en cette nourriture pour ramener de l’ordre et faire accepter le farouche.
Quoi de plus normal que de vivre le plus simplement en absorbant
chaque jour ces "petites choses" comme de plus "grandes".
Il y a matière à surveiller le comment nous mangeons,
comment nous absorbons tout ce qui va constituer
notre corps,
notre mental,
nos paroles ! Notre extérieur.
C'est la conscience de soi qui s'exprime.
Être attentif à tout ce qui décroît comme
à toutes forces montantes (Yin ou Yang) maîtrisées.
Et de ressentir les deux énergies imbriquées
contraires complémentaires qui
"s'expliquent" lors de la "digestion. "
Une maîtrise de notre alimentation prend corps,, de croître.
Sachant que tout évolue comme il se doit, de manière parfaite (et imparfaite),
ces forces font reprendre progressivement beaucoup
d’harmonie en soi.
Il y a alors une transformation symbolique
croissance et décroissance ne font plus qu’UN
et se vivent dans l’éclat en une saine lumière.
C’est la conscience du Soi qui s’exprime comme si l’homme
prenait conscience de sa Déité.
L'étude, tous les jours un peu plus le Tao, tous les jours un peu moins
de moins en moins jusqu'au non-agir comme alimentation.
De Pierre Faure en son récent ouvrage sur le Yi Jing :
" La NOURRITURE " est de tous les instants : le vivant en est tissé.
La nourriture peut concerner toutes sortes de besoins – alimentaire, matériel, physiologique, affectif, spirituel...- et de se traduire par des élans d’avidité, des écarts de conduite ou trouble divers, jusqu’à ce que soient entendus les conseils de modérations qui recommandent instamment de réguler ses désirs.
Les symboles sont le langage de l’esprit, aidant à prendre conscience
de pérenniser en soi l’harmonie. Et de ressentir le flux vital qui poursuit un éternel chemin…
celui de voir grand et de réaliser de manière universelle.
Ainsi l' Être de valeur
est attentif dans ses paroles
et MESURÉ dans le manger et le boire.
H61 : le trigramme Brume (du lac) en bas est surmonté du trigramme Vent (ou bois).
H27 : le trigramme Tonnerre en bas est surmonté du trigramme Montagne.
H61 : La brume a un rôle déterminant, découvrir des espaces nouveaux et
d’entreprendre la marche du " ciel "
promettant la découverte d’autres horizons, d'autres situations et
de pénétrer dans la mémoire. D’autres d’ajouter en plusieurs mémoires.
Poussée par le vent la brume de s’étendre allègrement.
jusqu’à être digne de foi trouvant quelqu'un à qui l’on peut se fier, se confier.
L’homme-la femme fidèle à sa parole, tient ses engagements
et son discours est sans aucune duplicité, voilà ce qui permet des relations de confiance.
Alors si ces relations sont mesurées entre les humains,
une fraternité de s’étendre jusqu’à toucher les éveillés.
La brume évoque la sérénité et le vent sa dispersion.
On trouve alors une compagnie de confiance nécessaire sur le chemin engagé,
au moment voulu et à l'endroit voulu…/…et pour certains (es) le mental d’en est affecté.
C’est surprenant qu’un élan de sincérité, une empathie, un altruisme bouscule,
parfois même d’ébranler des personnes indisposées à ces élans.
Inaccoutumées en fait.
H27 : Un fracas sort de terre, une dynamique yang qui s’échappe de terre et prend naissance,
se précipitant vers la Montagne qui freine l’emballement du Tonnerre.
Une " mastication " est nécessaire ensuite un fluide de s’installer en un cinabre.
Le chaudron en lequel toute nourriture se transforme.
En cette étude il y a une grande idée :
demeurer dans la juste confiance est une prodigieuse nourriture
pour ramener de l’ordre, de ce fait le farouche est accepté,
l'harmonie de se répandre.
Quoi de plus normal que de vivre le plus simplement en se nourrissant
chaque jour de cette juste confiance.

Guy H
[Aparté : A signaler qu'il n'y a aucun rapprochement à des événements actuels,
et si cela était, complètement fortuit cela serait, car les baguettes utilisées apportent chaque jour des hexagrammes de manière aléatoire pour cette étude.]
et si cela était, complètement fortuit cela serait, car les baguettes utilisées apportent chaque jour des hexagrammes de manière aléatoire pour cette étude.]



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